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25/08/2014

Une posture de yoga par jour... La montagne

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Posture de la montagne

 

- Je m’assois sur un tapis. Pour plus de confort, je glisse un coussin sous les fesses afin de faciliter une bonne position du dos. Je vérifie maintenant que le bassin est bien positionné. Pour cela, j’étire la région située entre le pubis et le sternum (mon dos se redresse). Et je me penche quelques instants vers l’avant à 45% environ afin de favoriser la bascule du bassin. Quand je me redresse, je veille à garder une légère (et naturelle) cambrure lombaire. La colonne vertébrale s’allonge. Je rentre un peu le menton comme pour pousser le sommet du crâne vers le ciel. Mes épaules retombent. J’ai les yeux fermés ou ouverts comme cela me convient. Mes mains sont naturellement posées sur les genoux ou les cuisses. Et j’ai conscience de cette position... 

 

- Je respire calmement si nécessaire en allongeant peu à peu mes expirations. Et durant ce temps, je demeure également conscient de ma posture, de mes points d’appui donc des sensations corporelles présentes... 

 

- Consciemment je joins les mains l’une contre l’autre devant le thorax, pouces croisés. Conscience du contact et de la chaleur entre les mains. Je souffle l’air un peu plus lentement en pressant un peu plus les mains l’une contre l’autre. Sur l’inspiration, je dirige les bras vers le ciel, les mains passent devant le visage, se placent au-dessus de la tête et continuent de s’étirer vers le haut. Une fois les bras allongés (sans forcer), j’accroche les pouces l’un à l’autre afin d’orienter les paumes vers l’avant. Je respire lentement en laissant mon souffle s’adapter à la posture. Je tire doucement les bras, les mains, les doigts vers le ciel. Je cherche en même temps à ‘tirer’ les bras vers l’arrière afin de creuser la zone des omoplates. Le menton est en position rentrée (comme dans le troisième degré sophrologique). Le visage est parfaitement relaxé. Je peux sans doute sentir que chaque inspiration allonge un peu plus mon axe vertébral tandis que chaque expiration m’aide à relaxer ce qui n’est pas nécessaire au maintien de la posture. 

 

- Après 3 à 6 respirations, je redescends consciemment mes mains sur une expiration. Elles se reposent sur les cuisses ou les genoux, paumes vers le ciel ou vers le bas. Je laisse ma respiration revenir à son rythme de détente mais je peux avant cela réaliser une grande respiration ou laisser venir un bâillement. Tandis que ma respiration s’organise, j’entre en contact avec toutes les sensations issues de la posture que je viens d’exécuter ou du relâchement qui s’en est suivi. Je peux ici choisir d’avoir les yeux fermés pour mieux capter ce qui se présente. 

 

- Quand je le désire, j’ouvre à nouveau les yeux et je retrouve mes activités.

 

Adaptation sophrologique

 

- On s’assoit sur la chaise, soit au milieu du siège soit sur le bord avant afin de permettre une bonne position du bassin comme dans la posture du 3ème degré. Et on réalise le même étirement mais 3 fois et en suspension de souffle.

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